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MATOUS LANDES

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3 octobre 2011

LES MÉDIAS PARLENT DE MATOUS LANDES

 

05 octobre 2011

Matous Landes dans le journal Sud Ouest

Article_sud_ouest_5_octobre_2011

 

8 mai 2011

Matous Landes dans le journal local de Mimizan

Matou_Landes_Mimizan_001_

 

13 mars 2011

Matous Landes passe à la télé sur FRANCE 3

Pour voir et revoir la vidéo, cliquez sur le lien ci dessous :

http://www.youtube.com/watch?v=-BAoPeOoPvc

 


12 mars 2011

Matous Landes dans le journal SUD-OUEST

L'association poursuit sa mission de stérilisation des chats libres au niveau départemental et organise une journée de sensibilisation le 12 mars.

 ml

Dominique Martin, secrétaire de Matous Landes et Jeanine Veret, vice-présidente de la SPA, avec deux chats libres en convalescence avant d'être remis dans leur environnement.

Photo Nicolas le Lièvre

 

 

 

 

 

 

 

En huit ans, l'association Matous Landes, née dans l'agglomération montoise, a multiplié son nombre d'adhérents par quatre. Aujourd'hui son action dédiée à l'identification et la stérilisation des chats libres s'étend sur tout le département. « Nous avons signé un partenariat avec la Société protectrice des animaux qui nous a chargés de la campagne de stérilisation des félins sur les Landes », explique Dominique Martin, le secrétaire de l'association qui résume la relation des deux structures par une métaphore : « la SPA c'est la sécurité sociale, et Matous Landes, une mutuelle. » L'association agit sur tout le territoire à l'exception de Biscarrosse, Hossegor et Ondres où elle est relayée respectivement par les associations Biscachat, l'Abri et APCL.

Depuis le début de la campagne 2011, le 3 janvier, plus d'une centaine de chats libres ont déjà été stérilisés. « En deux mois, c'est beaucoup, explique Dominique Martin. Nous pouvons effectuer 550 stérilisations par an avec notre budget qui s'élève à 10 000 euros. » 70 % de cette enveloppe sont utilisés pour les stérilisations et les frais vétérinaires, 20 % pour l'alimentation qu'achète l'association (elle reçoit aussi quelques dons en nature), le reste concerne les charges de fonctionnement.

Samedi 12 mars, l'association Matous Landes organise une journée de sensibilisation à la stérilisation, sur Mont-de-Marsan. « Un stand d'informations sera installé place Saint-Roch, indique Dominique Martin. Nous voulons que les gens comprennent l'importance de faire stériliser les chats libres mais aussi leur propre chat domestique. » Jeanine Veret, vice-président de la SPA de Saint-Pierre-du-Mont, illustre le propos par des chiffres. « Une seule chatte peut faire jusqu'à trois portées de quatre petits par an. Pendant les période de reproduction, on nous amène près de 60 chatons par semaine. C'est énorme. »

Le même jour, l'association procédera par ailleurs à une collecte de croquettes au profit des chats sans abri au magasin Intermarché, toujours à Mont-de-Marsan.

Signature de conventions

Afin d'étoffer son budget et de mener à bien sa mission, Matous Landes a décidé de solliciter les communes en leur proposant de signer une convention. « Le Code rural indique que le maire ''peut'' par arrêté, à son initiative ou à la demande d'une association de protection des animaux, faire procéder à la capture de chats non identifiés vivant en groupe dans des lieux publics de la commune afin de faire procéder à leur stérilisation et à leur identification… Il ''peut'' mais n'a aucune obligation de le faire », regrette Dominique Martin.

Plusieurs communes ont joué le jeu, comme Dax qui octroie 3 000 euros de subvention chaque année. La ville de Mont-de-Marsan, quant à elle, n'a toujours pas signé de convention avec Matous Landes mais a tout de même donné 1 400 euros en 2010. D'autres cités, petites ou grandes, parfois directement concernées par la prolifération des félins, se sont montrées plus réticentes. Pourtant l'action de Matous Landes peut être considérée d'utilité publique. Car la stérilisation, c'est aussi la solution pour lutter contre les abandons et la surpopulation des refuges (lire par ailleurs). En huit ans, rien que sur l'agglomération montoise, Matous Landes a ainsi stérilisé plus de 1 000 chats libres.

Pour obtenir plus de renseignements sur les actions de Matous Landes, il y a Internet : matouslandes.canalblog.com Tél. 05 58 71 03 06.

11 mars 2011 06h00 | Par Claire Talgorn

 

 

29 octobre 2009

Matous Landes, Alca Torda et la SPA tiendront un stand au centre Leclerc
...

Lire la suite ici :  Article_journal SUD OUEST_du_29_octobre_2009 

 


20 octobre 2009

Article journal SUD OUEST 20 octobre 2009


Annie Jougla, de l'association Matous Landes, surveille et régule la population féline de son quartier.

Un travail qui l'accapare tous les jours de l'année.

Lorsqu'on gagne quelques centaines d'euros par mois, il est plus facile de donner son temps que son argent. Et comme Annie Jougla aime beaucoup donner, quoi qu'il doive lui en coûter, elle astreint chaque soir son emploi du temps à un rituel immuable. « 365 jours par an, qu'il vente, qu'il neige ou qu'il pleuve, il faut que j'aille voir les chats. » C'est son petit péché.

Vers 18 heures, donc, elle sort de chez elle, en route pour une mission. Dans le quartier, Annie est la vigie des chats. Et elle ne prend pas son rôle à la légère : c'est en raison de son implication auprès des félins du voisinage qu'elle est membre actif de l'association Matous Landes. « Au début, j'ai trouvé des chats malades. J'ai donc appelé la SPA qui m'a orientée vers cette association. J'y suis depuis quatre ans. » Dans son grand cabas de toile nylon, son arsenal de campagne : nourriture mixée, eau fraîche, gamelles en plastique propres comme des sous neufs, chiffons eux aussi lavés. « On va faire la petite tournée. Mais il ne faut pas croire. Ça prend du temps. Bien trois heures par jour si je compte en plus la préparation. »

Direction la maison de retraite Mauléon, première étape de ses pérégrinations. « Le plus dur est de se faire accepter des habitants. Ici, les personnes âgées me connaissent. Elles donnent à boire aux chats l'été. »

Visiblement, les félins aussi. Depuis le côté du bâtiment, lorsque résonnent les petits pas d'Annie, ils montrent le bout de leurs museaux, accompagnent l'arrivée de la cantine de miaulements insistants et affamés. Pourtant, personne n'est efflanqué.

Il y a Grisou, il y a Noiraud, Blanco, et Grisette. « Je leur donne des noms en fonction de leur couleur, c'est plus pratique », croit-elle nécessaire de décrypter. Des chats paisibles, qui laissent les pies du jardin terminer leur gamelle. « J'ai parfois vu des oiseaux manger avec les chats dans le même plat », affirme Annie. Chacun a son auge bien remplie. Elle en profite pour compter, vérifier que leur nombre n'a pas évolué. « Je maîtrise la population. C'est d'ailleurs essentiellement ce que fait l'association : réguler pour éviter la prolifération des individus ou des maladies. »

 

« Les chats sont malins »

Les chats atteints du sida sont attrapés à l'aide de pièges, « ou à la volée. C'est ma spécialité », puis euthanasiés, en collaboration avec les vétérinaires montois. La même opération sert à stériliser les jeunes animaux. « Il faut faire preuve de patience, parce qu'ils sont malins. » Alors elle passe du temps à les observer. C'est comme cela qu'elle sait que certains, « dorment dans l'écurie, au milieu du foin, avec les chevaux ».

La suite de la visite consiste en une vérification des tissus qui garnissent les niches à chats cachées dans un buisson et les remplace, si besoin. Puis pénètre dans l'établissement. « Il y a quelque chose pour moi aujourd'hui ? » L'aide soignante opine, extrait un seau de restes du grand frigo. « C'est plus facile ici parce qu'ils me connaissent. J'y travaillais avant. » C'était il y a quatre ans. Une autre époque. Elle était auxiliaire de vie, elle gagnait « un million de francs par mois quand même ».

Depuis, les choses ont beaucoup changé. C'est peut-être pour cela que l'urgence de vivre l'habite. « J'ai toujours été une pile électrique, mais les événements m'ont calmée. » Victime d'un accident vasculaire cérébral, Annie a bien failli rester sur le bord de la route. Clouée six mois dans un fauteuil roulant, logée dans un squat trois ans de plus, incapable de travailler, elle aurait pu se laisser aller. « Mais je suis revenue pour mes fils, et pour les animaux », dit-elle, fière d'avoir trouvé sa place auprès des Restos du coeur et du Panier montois. « Le social, j'ai toujours aimé ça. » Tout comme son surnom : « C'est Petit-Pois ». Hommes ou animaux, Annie ne distingue pas.

C'est peut-être pour cela qu'elle laisse sa chienne Vodka en pension chez une amie très malade. « Elle se sent un peu seule. Ça lui fait de la compagnie. Elle a un album photos de la chienne pour se consoler lorsque je viens la récupérer. »

Ainsi va la vie d'Annie Jougla, de Vodka et des chats du quartier de l'Argenté. Elle rentre ensuite retrouver les sept chats qui résident chez elle. « C'est en quelque sorte le dernier point de ma tournée. » Et tous ont une litière parfaitement nettoyée. « Parfois, le soir, on m'appelle parce qu'une chatte vient de mettre bas. Je m'habille et je vais m'occuper des chatons. C'est plus fort que moi. » Parce qu'Annie Jougla a pour mission de s'occuper des chats.

L'association, créée en 2002, regroupe une dizaine de bénévoles répartis sur l'agglomération montoise et chargés de surveiller les animaux du quartier. Elle a pour but de réguler les populations de chats vivant en liberté et de tenter de placer les animaux errants. « Donner un chat de la main à la main est une bonne attention, mais qui peut s'avérer néfaste, explique Marianne Minier, la présidente de l'association, parce que les chats ne sont pas stérilisés et qu'ils peuvent ensuite proliférer, jusqu'à gêner le voisinage et se trouver en mauvaise santé. » Matous Landes propose donc aux adoptants un véritable suivi, y compris médical, et une aide administrative (des aides à la stérilisation existent). Renseignement : 05 58 71 03 06. Ou matouslandes.canalblog.com

Auteur : martin thévenot

m.thevenot@sudouest.com


3 mars 2011

 matous_landes_sud_ouest_3_mars_2009

 

3 octobre2008

 MATOUSLANDES. Depuis sept ans, Matouslandes régule la population des chats errants de l'agglomération en les stérilisant puis ne les nourrissant sur leur lieu de vie.

 

La main à la patte

 

Chaque jour que Dieu fait, qu'il pleuve, qu'il vente ou qu'il neige, ils arpentent les rues. Devenir bénévole à l'association Matouslandes, cela ressemble parfois à un sacerdoce. Mais depuis sept ans, ces dix amoureux des félins l'affirment : le jeu en vaut la chandelle. « Si nous n'étions pas là, la population des chats errants serait multipliée par quatre », explique Dominique Martin, cheveux blanc et sourire communicatif, en caressant du regard un matou noir et blanc lové sur ses genoux.

 

L'association montoise, présidée par Marianne Minier, elle-même maîtresse d'une vingtaine de matous, tente de réguler la population de ces chats SDF qui vivent sur l'agglomération montoise (jusqu'à 50 km autour du Moun). « Nous essayons de contrôler les choses. Pour ce faire, nous capturons les animaux, les stérilisons, les identifions par le biais d'un tatouage. Ensuite nous les replaçons dans leur environnement de départ. »

 

Qualité de vie.

Pas question pour autant de laisser leurs nouveaux protégés se débrouiller seuls dans la jungle urbaine. Si Matouslandes arpente les rues au quotidien, aux quatre coins de la cité, c'est pour capturer soit, mais surtout pour nourrir les minets SDF et leur assurer ainsi une meilleure qualité de vie. « Les nourrir, c'est ce qui prend le plus de temps, poursuit Dominique Martin. Cinq personnes se chargent de cette mission chaque jour. »

 

Pour les captures en vue d'une stérilisation, Matouslandes aimerait aussi, à plus ou moins long terme, que les particuliers mettent, si l'on ose dire, la main à la patte. « On leur fournirait la petite cage qui sert à récupérer les chats et sur laquelle est inscrit le numéro de l'association. Ils pourraient nous contacter dès que l'un d'entre eux est capturé. »

 

Demandes de subventions.

Pourtant, malgré la bonne volonté qui fait figure de religion chez Matouslandes, le nerf de la guerre reste les finances. « La SPA nous aide fortement dans le cadre de ses campagnes de stérilisation depuis des années, mais son budget n'est pas un puits sans fond. Aujourd'hui, elle a d'autres priorités. Et nous avons besoin de ressources complémentaires », précise Dominique Martin qui a rempli récemment un dossier de demande de subventions auprès des municipalités montoise et saint-pierroise. Il espère être entendu lors du prochain vote municipal. D'autant que Matouslandes n'a pas pour habitude de jeter l'argent par les fenêtres. « Nous n'avons aucun frais de fonctionnement. L'intégralité de nos finances sert uniquement à la mission que s'est fixée l'association. »

 

Les dix bénévoles ne se remboursent même pas leurs frais d'essence. Leur moteur ronronne tout seul. L'amour des bêtes peut faire des miracles.

 


 

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29 juin 2011

CHAT PERDU

Mont-de-Marsan

Perdue chatte tricolore blanche beige et grise,

sterilisée, tatouée oreille droite GAV 924.

Elle répond au nom de Patate, elle est très sociable mais risque d'etre un peu mefiante. Si toutefois vous l'apercevez, contactez moi, quelque soit l'heure 06 15 74 74 22    MERCI

P1230194

 

 

 

24 avril 2011

Oscar le chat qui pressent la mort

voici Oscar dans les couloirs de l'hôpital  :

oscar

Résumé :

Durant les deux années qu’il a passées dans l’unité des démences au dernier étage du Steere Nursing House and Rehabilitation Center, (unité pour les malades d'Alzheimer aux Etats-Unis) Oscar (c’est le nom de ce chat) s’est pointé plus de 25 fois auprès des lits de patients qui sont morts... dans les deux heures qui ont suivi la visite du chat.

Le docteur David Dosa, de la Brown University, a publié un article sur la question dans le journal de médecine de Nouvelle-Angleterre. Le don de l’animal est à ce point efficace que lorsque Oscar vient promener ses griffes dans les environs d’un patient, les infirmières n’hésitent pas une seconde à contacter la famille.

Alors, don de voyance ou perception biochimique ? La question demeure ...

 

cliquez sur ce lien pour en savoir plus : oscar le chat qui pressent la mort

 

 

12 mars 2011

beau témoignage

 

 

T_moignage_Axel__mars_2011

 

 

Merci pour ce témoignage.

 

 

 

 

4 mars 2011

campagne de stérilisation

Le mois de mars est là ! La nature s’éveille et les chattes ont leurs premières chaleurs ! Certaines minettes précoces mettent même déjà bas.

Chaque année le raz de marrée des naissances est de plus en plus important. Des quantités de chatons sont, dans le meilleur des cas, donnés à tour de bras, via les petites annonces. D’autres sont apportés à la SPA qui en est vite saturé.

Matous Landes en recueille aussi un certain nombre et les fait adopter sous contrat, assurant leur stérilisation future (52 contrats en 2010).

Malheureusement tous les chatons n’ont pas cette chance car beaucoup finissent tués ou noyés par leur propriétaire. Pire, parfois enfermés vivant dans une poche plastique et jetés dans un conteneur.

D’autres personnes les abandonnent un peu n’importe où.

Afin que ces actes de cruautés et de lâchetés prennent fin, voici la solution :

Faites vite stériliser vos chats !

Profitez-en pour les faire également identifier (tatouage ou puce électronique)

Pour les personnes non-imposables ayant peu de ressources, nous contacter.

La stérilisation apporte pas mal d’avantages, voir ci-dessous.

 aa

 

isassstion

 

 

 

 

 

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27 février 2011

empoisement de chats à Sabres (journal Sud-Ouest)


Le mystère de l'empoisonneur à la sardine demeure entier

A Sabres (Landes), depuis deux mois, entre rumeurs et disparitions de chats, la psychose gagne le village. La gendarmerie enquête.


     

 

       
 

 

 

 

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 Photo Georges Durand

   

 

 Laurette pense que, dans le quartier, « quelqu'un en veut aux chats ».

 

 

 

C'est un coin de nature un peu à l'écart de Sabres où poussent une trentaine de bicoques vertes et rouges autour d'un cimetière. Un lieu paisible où l'on aime les animaux, le jardinage et les barbecues entre voisins. Mais depuis quelques semaines, la psychose trouble la quiétude du paisible quartier résidentiel du Petit Bourg. Car ici, des chats meurent. Et les circonstances de leur décès sont tout sauf naturelles.

Laetitia cherche son matou depuis le mois d'août. Disparu. Elle n'a pas de preuve, mais depuis « l'affaire », elle se pose des questions. « J'ai un voisin qui en a eu six empoisonnés, je ne pense pas qu'il a porté plainte. Des voisins disent que des gens savent qui fait ça », poursuit-elle. D'autres riverains disent que « ceux qui savent ont peur ».

Laurette, elle, n'a pas de doute. Snoopy a été empoisonné. C'est la vétérinaire qui le lui a dit. Son chat, elle l'a trouvé agonisant près de chez elle. Elle l'a enterré dans le jardin. Puis c'était le tour de Tao. La vétérinaire a bien cru le sauver, mais elle n'a rien pu faire. Elle a dit à Laurette que le chat avait ingurgité des sardines à l'huile. Et un produit organo-phoshoré. La vétérinaire, elle a dit aussi que « pour un cas comme ça avéré, il y en a au moins dix non avérés ». Elle a porté plainte. Elle pense que « quelqu'un en veut aux chats, c'est cruel ».

D'autant que Laurette n'est pas un cas isolé dans le quartier. Chez Nathalie aussi, il y a eu une hécatombe. C'était à la même période, début janvier. Trois chattes, à trois jours d'intervalle. Elles bavaient, en hypothermie, puis elles sont mortes. La première, elle l'a vue quelques heures avant, avec une « sardine fraîche » au bec. Le chien a bien failli y passer aussi. « Il sentait aussi la sardine », jure Nathalie.

Un peu plus loin, c'est chez Jacqueline que le tueur a sévi. « La petite a pleuré. » Kiki avait encore la tête d'une sardine crue dans la bouche. Le reste, il l'avait ingurgité. Elle suppose que la plupart des victimes sont des chats castrés « parce qu'ils ont plus d'appétit ».

Nouvelle plainte déposée

Laurette a mené son enquête. Elle dénombre « 16 disparitions de chats » dans le quartier. Elle pense que « quand les gendarmes sont venus, cela a stoppé le tueur ». Mais elle est inquiète. Récemment, une nouvelle plainte pour empoisonnement de chat a été déposée à l'autre bout du village.

Dans la boulangerie, une élue a déposé une affiche recommandant de surveiller les animaux domestiques. « On en a beaucoup parlé pendant un moment, de ces chats empoisonnés. Puis il y a eu l'incendie de la palombière, ça a déplacé l'attention », analyse une habitante.

Depuis le mois de janvier, les gendarmes multiplient les auditions. Ils ont bien sûr interrogé le poissonnier. Rapport aux sardines. Mais de là à déterminer le profil d'un tueur de chat… « C'est un peu nouveau » reconnaît le major Dubois, commandant de la communauté de brigades de gendarmerie de Sore. « Il faut rester prudent, pour l'instant aucun lien n'a été fait entre la dernière plainte et les cas du mois de janvier. Il ne faudrait pas céder à la psychose, ni aux rumeurs. On parle de 16 chats, mais pour l'instant, nous n'avons que trois plaintes et nous n'avons enregistré que six chats empoisonnés. Si des gens ont des disparitions de chats à signaler, il faut qu'ils viennent nous voir », poursuit le militaire.

Dans un taillis, des boîtes de sardines vides ont été trouvées. Les gendarmes misent maintenant sur les analyses toxicologiques des échantillons de vomi recueillis par Laurette auprès de Tao. Ceux-ci ont été envoyés à l'École vétérinaire de Lyon. Les résultats seront connus dans quelques jours.

Chez Nathalie, seul un gros mâle dénommé Pot de colle a survécu au massacre. Sa maîtresse est formelle : il n'a jamais aimé le poisson.

 

extrait du journal Sud-Ouest

25 février 2011 | Par Yann Saint-Sernin

sans commentaire...

 

 


13 février 2011

ça fait plaisir

Ça fait plaisir ...

MATOUS LANDES poursuit son action pour les chats
Votre témoignage nous a beaucoup touché.

T_moignage_Blog

6 février 2011

Chat polydactyle

Chat polydactyle

Un article extrait de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Chat polydactyle de la maison d' à Key West (Floride)

Un chat polydactyle ou hyperdactyle est un chat qui a une anomalie physique congénitale qui consiste en une présence de doigts supérieurs à la normale, sur une ou sur toutes les pattes causée par une mutation génétique.

Cette dénomination vient du grec "poly" qui signifie "nombreux" et "dactyle" qui signifie "doigts".

Description

Chat polydactyle avec six doigts à l'avant et cinq à l'arrière

Un chat possède normalement quatre doigts et un ergot sur les pattes avant et quatre aux pattes arrières. Un chat polydactyle peut posséder jusqu'à sept doigts indifféremment à l'avant et/ou à l'arrière. Diverses variations de quatre à sept orteils sont communes, bien que chaque paire de pattes garde un nombre identique de doigts.

La polydactylie est plus fréquemment observée sur les pattes avant uniquement. Rarement elle est vue sur toutes les pattes ou uniquement sur les pattes arrières.

Cette malformation congénitale est héritée génétiquement car le gène responsable est autosomique dominant à expression variable. Elle n'est ni mortelle ni dérangeante pour le chat, bien que l'on ait remarqué un petit retard d'apprentissage de la marche et de la grimpe chez les chatons polydactyles. Par la suite, certains développent une plus grande habilité. Pour exemple, un chat possédant six doigts à l'avant (dont deux orteils opposés l'un à l'autre comme les pouces d'une main humaine) permet au chat une dextérité manuelle étonnante que l'on ne retrouve pas chez des chats non polydactyles, comme ouvrir des loquets de portes ou chasser en s'aidant d'une seule patte.


Histoire

Les conditions semblent être plutôt réunies sur la Côte Est des États-Unis et dans le Sud-Ouest de l'Angleterre. Certains avancent que la raison de la quasi absence de chats polydactyles en Europe est due au fait que les chats sortant de l'ordinaire étaient directement tués au Moyen Âge en raison des fortes superstitions et de l'appartenance supposée du chat à la sorcellerie[1]. D'autres attirent l'attention sur le fait qu'en Angleterre les chats polydactyles sont nombreux, particulièrement au Pays de Galles où on les appelle les "Cardi-Cats".

Le chat enregistré au Livre Guinness des records est Canadien et s'appelle Tigrex. Il est le chat ayant le plus grand nombre d'orteils à ce jour, 27 en tout.

Races et variétés

Exemple d'une femelle maine coon polydactyle avec sept doigts

Les deux races où la polydactylie est la plus forte sont le maine coon et le pixie-bob. Pour le maine coon ce trait n'est pas accepté en France par le LOOF, mais aux États-Unis, la TICA, l'ACFA, la CFA et diverses autres associations le reconnaissent[1].

Quant au pixie-bob, il descend directement de chats polydactyles et ce trait est comme pour le maine coon, reconnu par la TICA mais pas par le LOOF.


Les chats d'Ernest Hemingway

L'écrivain et prix Nobel Ernest Hemingway est un des amateurs de chats polydactyles le plus connu.

Dans le jardin de sa maison de Key West en Floride, il hébergeait un peu moins d'une centaine de chats dont environ la moitié étaient polydactyles. Cette passion pour ces chats particuliers lui est venue après avoir reçu un chat à six doigts offert par le capitaine d'un bateau. En anglais, le mot "Hemingway cat" ou "Hemingway" est devenu un mot d'argot pour désigner les polydactyles.

Depuis la mort d'Ernest Hemingway en 1961, cette maison est un musée et le jardin un abri pour les descendants de ses chats. Il en reste encore une soixantaine dont une trentaine de polydactyles.


6 février 2011

Élan de solidarité

Marie petite chatte de 9 mois a été accidentée fin janvier 

a proximité du restaurant social de Dax.

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Cette minette errante était nourrit grâce à la générosité des employés du centre. Au moment de son accident, une chaine de solidarité s’est mise en place pour permettre à Marie de continuer à vivre.

 

Des fonds ont été collectés auprès du personnel du restaurant social et de matous landes, le vétérinaire qui s’est occupé de Marie a proposé un tarif préférentiel. Grâce a cet élan de solidarité, Marie a pu bénéficier des soins qui lui ont sauvés la vie. Amputée d’une patte avant et stérilisée, elle se remet tranquillement de ses blessures dans une famille d’accueil et rejoindra par la suite sa famille adoptive pour de longues années de bonheur.


 

21 janvier 2011

Comment boivent les chats ?

L'art consommé du chat pour laper 



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Le chat plonge à peine sa langue dans le liquide. Il se contente d'effleurer la surface avec la pointe.

Les «chats puissants et doux» chantés par Baudelaire savent merveilleusement se déplacer dans l'espace. Tout le monde le sait et peut le constater à chacun de leur mouvement. Mais ils ont aussi une extraordinaire technique pour boire qui défie les lois de la gravité. Cela, personne ne le savait avant qu'une équipe de chercheurs du Massachusetts Institute of Technology (MIT) ne décide de s'intéresser à cette question. Pedro Reis et ses collègues publient vendredi les résultats de leurs recherches dans la revue américaine Science. Elles pourraient trouver bientôt des applications en robotique.

Quand on observe un chat en train de laper, on est d'abord frappé par la longueur de sa langue, par la vitesse et la fréquence avec laquelle il la plonge dans le liquide et la remonte dans la bouche. Tout va si vite qu'on ne voit finalement pas grand-chose. On a l'impression qu'il boit en prenant de l'eau dans deux petites fossettes creusées que l'on devine à peine. Eh bien, on a tout faux. «Le chat sort sa langue à la vitesse de 1 mètre par seconde et il la sort quatre fois par seconde. C'est impossible pour l'œil humain de percer les mécanismes qu'il utilise pour boire», assure Pedro Reis. Son équipe s'est servie d'une caméra rapide pour pouvoir décomposer le mouvement de la langue. Ils l'ont ensuite modélisé à l'aide d'un petit dispositif mobile très simple.

Équilibre parfait entre l'inertie et les forces de gravité

À la différence du chien et contrairement à ce que l'on pourrait croire, le chat n'utilise pas sa langue comme une cuillère. Il la plonge à peine dans le liquide. Il se contente d'effleurer la surface avec la pointe. En la remontant très vite, les forces d'inertie sont telles qu'une partie du liquide suit le mouvement ascendant, comme le passager d'une voiture est déporté dans les virages. Finalement, l'eau se retrouve sous la langue et non pas sur la partie supérieure. Le chat boit en la ramenant à l'intérieur de sa bouche.

lape



Ces différentes séquences montrent que le chat, quand il lape, embarque par inertie une petite partie du liquide sous sa langue (0,4 millilitre en moyenne pour un adulte). 

«La vitesse avec laquelle le chat remonte la langue crée un équilibre parfait entre l'inertie et les forces de gravité. Il sait exactement quand il doit fermer la bouche avant que la colonne d'eau ne s'effondre», explique Pedro Reis. S'il attendait une fraction de seconde supplémentaire, les forces de gravité prendraient le dessus sur l'inertie et la langue se viderait.

Le chat a une langue d'une grande agilité. Quand il boit, il l'incurve vers l'arrière, ce qui lui donne une plus grande détente lors de la remontée. La pointe est très lisse, dépourvue des petites excroissances qui lui donnent sa rugosité caractéristique. Les chats adultes absorbent en moyenne 0,4 millilitre à chaque lapée. C'est très peu, mais les chats en bonne santé n'ont généralement pas besoin de beaucoup d'eau. «En tant que physiciens, notre objectif n'est pas seulement d'observer et de décrire le chat en action. Nous cherchons à simplifier au maximum les mécanismes qu'il utilise pour comprendre comment ça marche», explique Pedro Reis. C'est ainsi qu'en modélisant les solutions adoptées par le chat, ils sont parvenus à calculer la vitesse avec laquelle les autres félins, en fonction de leur poids, doivent actionner leur langue pour boire.

Car le lion, le tigre et le léopard utilisent eux aussi le même jeu entre l'inertie et les forces de gravité pour boire. En effet, les félins n'ont pas de joues, ce qui les empêche d'aspirer les liquides. Les chercheurs ont pu vérifier que leurs équations sont justes en observant plusieurs spécimens dans les zoos: plus les animaux sont gros, moins ils lapent rapidement.

Article extrait du journal le figaro (12/11/2010).


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